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ANTI-ÂGE GLOBAL


LES HORMONES DE LONGÉVITÉ

LES CLEFS DE L'ANTI-AGE


LA FORMULATION LIQUIDE REGENERATIV est un allié naturel pour aider votre organisme  à résister au temps et aux agressions extérieurs tel que tabac, stress, pollution, l'alcool.


Au fil des années et des lectures scientifiques il a été constaté que la base de la prévention anti-âge repose sur dix principes fondamentaux à respecter :



LA JEUNESSE EST DANS NOTRE HYGIENE DE VIE.






Le Dr David Sinclair

Le Dr David Sinclair est un généticien de renommée mondiale derrière la science de changement de paradigme menée au Harvard’s Center for the Biology of Aging, l’une des 50 personnes les plus influentes dans le domaine de la santé et, selon Time Magazine, «l’une des 100 personnes les plus influentes».

Voici en video  une Masterclass pour discuter de la science qui peut changer la façon dont nous vieillissons et fournir des méthodes pour prolonger notre durée de vie..

 



 

Le resveratrol anti-oxidant puissant

 

 

David Sinclair sur la base de ses études menées a Harvard affirme qu’il est possible de retarder le vieillissement en adoptant quelques habitudes simples qui nous aideront à vivre plus longtemps et en meilleure santé.

La façon dont nous vivons notre vie a un impact important sur notre santé, notre état mentale et notre peau.

En faisant les choses correctement, on peut ralentir considérablement l’horloge du vieillissement, et aujourd’hui, nous pouvons mesurer cette horloge, nous avons des tests sanguins et salivaires pour cela.

Nous constatons chez des animaux comme les rats et les souris, voire les baleines et les éléphants, et chez des personnes ayant des modes de vie différents, que le vieillissement peut se produire à des rythmes très différents. 

Plus de 80 % de notre santé future dépend de votre mode de vie, et non de notre ADN comme l’explique l’épigénétique qui est la discipline de la biologie qui étudie les gènes.

Il y a des faits établis par des scientifiques qui ont observé le mode de vie des personnes qui vivent le plus longtemps.

Le Japon qui consomme beaucoup de légumes, fruits et poissons a l’une des populations les plus âgées du monde .

   Il s’agit notamment de manger les bons types d’aliments ,le régime méditerranéen et Japonais serait recommandé.

Consommer moins de calories et de manger moins souvent.

 L’exercice physique est également indispensable .

 

La raison pour laquelle les scientifiques pensent que ces habitudes et ce mode de vie fonctionnent est qu’ils renforcent les défenses naturelles de l’organisme contre les maladies et le vieillissement sont les résultats positifs des nombreuses études menées.

 

 

Voir le lien ci-dessous .

La revue scientifique Nature explique la biologie du vieillissement.

https://www.nature.com/articles/s41586-020-2975-4

https://sinclair.hms.harvard.edu/research





Selon la science , ingérer du collagene et de l'acide hyaluronique chaque jours ralentis le vieillissement .






Les peptides de collagène marins et acide hyaloroniques sont les molécules naturelles qui envoient un signal aux cellules du corps et contrôlent la production de collagène. Il a également été démontré qu’ils stimulaient l’expression de l’élastine et des glycosaminoglycanes (GAG), tels que l’acide hyaluronique (AH). Les peptides améliorent la résistance mécanique de la peau , il repulpe, hydrate et ralentis le vieillissement.


 



 

L'alimentation, SOLUTION ANTI-AGE



Liste d’aliments qui stimulent la synthèse de collagène et d’élastine sont les ingrédients clés du maintien de la structure, de la fermeté et de l’élasticité de la peau. 

  • Le saumon – apporte le zinc qui aide à la synthèse du collagène, et les acides gras essentiels, qui nourrissent la peau.
  • Les légumes verts – brocolis, haricots verts, petits pois, épinards, salade verte – préviennent la dégradation du collagène, car sont riches en antioxydants.
  • L’avocat – par sa teneur élevée en antioxydants, et par sa teneur en vitamine E qui aident à prévenir la dégradation du collagène.
  • Les œufs – les membranes du jaune et de la coquille contiennent du collagène et du souffre qui aident à produire du collagène.
  • L’ail – avec sa forte teneur en soufre qui contribue à la formation de collagène et à la maintenance de la pigmentation naturelle de la peau.
  • Les fruits rouges, riches en lycopène, un antioxydant favorisant la sécrétion de collagène.  
  • Le bouillon d’os, riche en collagène.
  • Les kiwis – ils contiennent la vitamine C qui augmente la production de collagène. Les vitamines A et E aident à lutter contre le vieillissement de la peau.
  • Les carottes, qui contiennent beaucoup de vitamine A, qui permet d’augmenter la production de collagène et ralentit sa dégradation.
  • Les produits laitiers contiennent des acides aminés favorisant la formation de collagène par le corps.



Les aliments bénéfiques




  • Le resveratrol antioxidant puissant
  • La carnosine : la carnosine est un puissant anti-glycation.
  • Les antioxydants : ils se trouvent dans les fruits et légumes colorés.
  • Le resvératrol : un antioxydant puissant contenu dans les raisins (et donc aussi dans le vin), les mûres, les grenades ou les cacahuètes.
  • Le romarin.
  • L’acide alpha-lipoïque : il neutralise les radicaux libres. On le trouve dans les brocolis.
  • La benfotiamine : inhibe la formation de produits de glycation dans l’organisme. On la trouve dans l’ail, les oignons, les échalotes et les poireaux.
  • La pyridoxine (vitamine B6).

 




L'importance de la vitamine C


La vitamine C participe à des centaines de processus dans l’organisme. Une de ces principales fonctions est d’aider le corps à fabriquer le collagène. Elle contribue aussi au maintien de la fonction immunitaire, elle active la cicatrisation des plaies, participe à la formation des globules rouges et augmente l’absorption du fer contenu dans les végétaux.

Nos besoins en vitamine C.
  • 20 mg/j pour les enfants de 1 à 3 ans, 
  • 30 mg/j pour les enfants de 4 à 6 ans, 
  • 45 mg/j pour les enfants de 7 à 10 ans, 
  • 70 mg/j pour les enfants de 11 à 14 ans, 
  • 100 mg/j pour les adolescents de 15 à 17 ans, 
  • 120 mg/j pour les femmes enceintes
  • et 170 mg/j pour les femmes allaitantes.


 

L’autophagie : la régénération dans nos cellules

Littéralement, ce mot signifie que nos cellules se « mangent elles-mêmes ». En fait, elles disloquent en elles des particules usées ou étrangères (grâce à des enzymes) pour les utiliser éventuellement plus tard. Dans certains cas, elles peuvent « faire du neuf avec du vieux » et recycler des protéines dégradées en nouveaux composants cellulaires. Elles peuvent aussi en tirer de l’énergie, comme nous le verrons.

Cette fonction existe en chacune de nos cellules. En fait, ce processus de nettoyage et de réparation se fait naturellement, de manière cyclique, pendant les phases où la cellule est en repos relatif, mais elle a tendance à devenir moins active avec l’avancée en âge.



L’autophagie de corps étrangers dans la maladie


L’autophagie permet aux cellules d’éliminer des particules ou substances indésirables qui ont pu pénétrer dans les cellules : virus, bactéries, toxines, protéines dégénérées…(1) Ainsi, elle est impliquée dans des maladies infectieuses mais aussi des troubles neurodégénératifs, le cancer (2), etc… Elle améliore notre système immunitaire, réduit l’inflammation et protège notre système cardiovasculaire, parmi bien d’autres effets bénéfiques.

 

L’autophagie sans maladie : un vrai rajeunissement cellulaire

 

Chaque jour, sur les millions de réactions qui se produisent dans nos cellules, certaines ont des « ratés », et produisent des composants anormaux ou trop usagés. Lors de l’autophagie de ces composants détériorés, une sorte de « recyclage des pièces défectueuses » de la cellule se fait. Ces composants peuvent être classés parmi nos fameuses toxines qui, avec le temps, « encrassent » notre corps.

 

L’autophagie est aussi décrite comme une source alternative d’énergie pour la cellule, mise en oeuvre lors de certaines situation de stress physique comme le jeûne, la baisse du sucre dans le sang, les efforts intenses, ou le manque d’oxygène… En clair, pendant ces périodes, la cellule génère de l’énergie en « brûlant » ses déchets. Quoi de mieux ?

 




VOS CELLULES SE REPARENT SEULES

 

Parmi les composants importants de la cellule, vous avez peut-être entendu parler des mitochondries, ces « petites chaudières » qui brûlent oxygène et nutriments, pour produire l’énergie dont a besoin votre corps.

Etant le siège de fortes réactions oxydantes, leur mauvais fonctionnement ou leur détérioration est très préjudiciable à notre santé. En effet, des radicaux libres* peuvent alors être produits en excès et abimer à leur tour d’autres éléments de la cellule, voire son ADN (qui contient nos gènes), puis sortir de la cellule pour attaquer d’autres tissus.

Ces réactions d’oxydation se poursuivent jusqu’à ce que notre système antioxydant les neutralise.

Des études ont montré des corrélations entre ce phénomène et l’accélération du vieillissement, le cancer et des maladies dégénératives…

Ainsi, l’autophagie peut apparaitre comme LE système anti-âge de notre corps.

 La vraie découverte, c’est que l’autophagie a tendance à se réduire avec l’âge et surtout avec notre mauvaise hygiène de vie, laissant ainsi s’installer les maladies dégénératives.

L’autophagie induite lors d’un jeûne est accompagnée d’une production augmentée de cellules souches dans le corps (12), dont on sait qu’elles aident à régénérer nos tissus et organes.



Quelles sont les recommandations sur le jeûne ?

 

Les auteurs du NEJM sont en faveur du jeûne par intermittence. Ils soulignent la difficulté à adhérer à ce régime à la fois culturellement et la présence d’effet (faim, irritabilité) le 1er mois, le manque de soutien des médecins.

Ils recommandent 2 jours de jeûne par semaine avec progression :

 

  • Le premier mois : 1 jour de jeûne à 900-1000 kcal/jour
  • Le second mois : 2 jours de jeûne à 900-1000 kcal/jour
  • Le 3ème mois : 2 jours de jeûne à 750 kcal/jour
  • Le 4ème mois : 2 jours de jeûne par semaine à 500 kcal

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LE JEUNE INTERMITTENT SOLUTION ANTI-AGE ACTIVE SELON LE PRIX NOBEL DE MEDECINE.






Le jeune, l’autophagie rajeunissent nos cellules:

 

On sait depuis peu que nos cellules sont capables de régénérer leurs parties abîmées ou usées par le temps. Notre corps entier peut bénéficier de ce « rajeunissement cellulaire ».

Ce processus s’active par le jeûne, même court, mais aussi avec d’autres méthodes simples.

L’autophagie a suscité beaucoup d’intérêt chez les chercheurs depuis sa découverte dans les années 60. Le jeûne, quant à lui, est employé dans les médecines traditionnelles depuis la nuit des temps. On entend par jeûne, l’absence d’alimentation (avec prise d’eau  ou de boisson non caloriques).

La fondatrice de REGENERATIV est adepte de cette pratique (jeune de 18Heures) soit un repas par jour.

Dans les informations ci-dessous nous souhaitions partager « un secret de jeunesse » efficace pour certaine personnes mais en aucun cas nous ne connaissons la santé individuelle de nos lecteurs, nous ne sommes pas médecins et ne prescrivons aucun comportement.

 

 Intérêts santé du jeûne

Jeûner aurait de nombreux avantages sur l’organisme, surtout dans notre société ou la suralimentation et la malbouffe sont deux faits courants.

Voici les principaux atouts santé du jeûne :

  • Diminue la production d’insuline et le stockage des graisses et du sucre dans l’organisme.
  • Stimule le déstockage des graisses.
  • Meilleur contrôle des sensations alimentaires.
  • Stimule la sécrétion de l’hormone de croissance.
  • Améliore la performance physique et intellectuelle et diminue le temps de récupération.
  • Favorise la régénération cellulaire.
  • Permet le nettoyage de l’organisme et stimule l’autophagie ou fonction d’auto-nettoyage de l’organisme par ses propres cellules.
  • Diminue l’oxydation cellulaire et le vieillissement prématuré des cellules.
  • Prévient le surpoids et certaines pathologies associées : maladies cardiovasculaires, diabète, etc.
 


La vidéo ci-dessous explique de manière très claire le fonctionnement de notre organisme et son rapport avec la nourriture

 

Le Dr américain Jamnadas détaille la justification de la restriction alimentaire et du jeûne.

 

 

 

 

Docteur Pradip Jamnadas, 
Le fondateur et président de la Fondation Galen est diplômé en médecine de l’University College de Londres, en Angleterre, avec une formation post-universitaire à l’Université de Yale en cardiologie. Il a une pratique spécialisée réussie à Orlando, en Floride depuis 1990 et effectue des procédures interventionnelles et est un cardiologue consultant avec une vaste pratique diversifiée en hospitalisation et en ambulatoire. Il a été reconnu dans le magazine Orlando comme le meilleur docteur en cardiologie pendant plusieurs années au cours des deux dernières décennies. Il est également professeur adjoint de médecine clinique à la Florida State University et à la University of Central Florida. Il est un conférencier et enseignant renommé, passionné par les interventions de haute technologie lorsqu’elles sont demandées, mais met davantage l’accent sur les mesures de prévention.

Avis de non-responsabilité : les informations fournies sont fournies à titre indicatif et ne remplacent pas un avis médical individuel. Tous les téléspectateurs devraient consulter leur médecin avant de commencer tout programme ou traitement médical. Toute action que vous entreprenez sur les informations que vous trouvez dans ce contenu est strictement à vos risques et périls. Ni le Dr Pradip Jamnadas ni Cardiovascular Interventions ne seront responsables des dommages ou des pertes liés au contenu de cette chaîne YouTube.

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Jeûner pour maigrir : l'avis d'une diététicienne

 

Jeûner pour maigrir est une solution très efficace . Les avantages du jeûne pour la santé sont nombreux et très intéressants. Cependant, dans le cadre d’une perte de poids il faut rester prudent. En effet, un jeûne intermittent non encadré et mal conduit peut entraîner plus de dégâts que de bénéfices. Fatigue, frustration, compulsions alimentaires, fringales, etc sont autant d’effets négatifs qui peuvent mettre l’organisme à rude épreuve.

Pour les éviter, il est nécessaire de demander un avis médical avant d’entreprendre le jeûne et de se faire accompagner par des professionnels de l’alimentation. Aussi, il faut garder à l’esprit que le jeûne n’est pas un régime mais une manière de s’alimenter. La perte de poids ne doit pas être la seule motivation au risque de rendre les choses difficiles et les erreurs fréquentes.

 

Jeûner pour maigrir n’est pas aussi simple qu’il y paraît. En effet, certaines erreurs très courantes peuvent ruiner tous vos efforts et rendre le jeûne intermittent contre-productif.

 

Voici une liste des principales erreurs à éviter pour un jeûne réussi.

Ne pas boire suffisamment d’eau

L’élimination des déchets métaboliques et des toxines passe par une hydratation suffisante. En période de jeûne intermittent, cette hydratation doit être encore plus importante pour que l’organisme supporte les périodes de jeûne et continue à fonctionner de manière optimale. Lorsque l’on jeûne, la soif est souvent beaucoup moins importante. Il est donc impératif de faire attention à ce point et de boire au minimum 2 litres d’eau par jour, en répartissant l’apport sur la journée.

Manger deux fois plus pendant les périodes de prise alimentaire

Lorsque l’on pratique le jeûne, il peut être difficile de maintenir une alimentation équilibrée durant les périodes de prise alimentaire. En effet, il est très tentant de se jeter sur la nourriture, de manger en plus grande quantité et de se tourner vers des aliments plaisir. Or, cela est une grosse erreur. Pour profiter des avantages santé du jeûne, la qualité de l’alimentation lors des périodes de prise alimentaire compte autant que les périodes de jeûne elles-mêmes. Ainsi, il faudra favoriser des repas riches en végétaux, en céréales complètes, en protéines maigres et en acides gras essentiels.


Selon certaines études le jeûne intermittent et la restriction calorique sont bons pour la santé :

 

Nous sommes opposés aux études cliniques sur les animaux et partageons uniquement les conclusions sur la survie et la restriction calorique:
  • La restriction calorique diminuerait l’incidence du cancer, de diabète, de maladie cardiovasculaire et le risque de décès (Colman 2009)
  • L’étude du NEJM mentionne une étude sur des rongeurs où le jeûne intermittent améliore l’espérance de vie médiane de 14 à 45% chez les rats et de 4 à 27% chez les souris (Swindell 2012).  
 
 

Dans cette étude, la restriction calorique amène à une diminution des maladies.



Jeûne et détoxification

 

En plus de stopper toute possibilité d’ingérer des toxines, le jeûne aurait une action détoxifiante, principalement en activant l’autophagie. Cette détoxication est plus puissante qu’avec un simple régime hypotoxique. Elle s’exerce à l’intérieur même de nos cellules.

 C’est très intéressant car la majorité des techniques de détoxication visent plutôt l’élimination des toxines contenues dans le sang ou dans le milieu où baignent nos cellules (et qui les nourrit). Ces techniques évacuent les toxines par les organes d’élimination (foie, rein, colon…). Mais l’autophagie nettoie et restaure en même temps l’intérieur des cellules.

 

Jeûner contre le vieillissement grâce à l’autophagie

Le jeûne pour rajeunir ?

 

Le jeûne favorise les phénomènes d’autophagie qui permettent la régénération cellulaire, évitent d’accélérer le vieillissement, et certains phénomènes d’oxydation. Le jeûne peut ainsi être considéré comme une technique anti-âge (voir : les secrets du jeune intermittent).

Rajeunir est une préoccupation de l’homme depuis très longtemps. Dans son 3° livre, le Dr Hiromi Shinya parle d’enzyme de rajeunissement, et cite les recherches sur l’autophagie du Pr Mizushima de Tokyo. Il préconise, de son côté, des mini-jeûnes de 16 à 24 h, répétés régulièrement. Il se base aussi sur les études du Pr Panda (La Jolla Californie) qui ont montré ce qui suit :

Des souris mangeant une nourriture très riche en graisses et en calories, à n’importe quel moment de la journée, pendant 100 jours, voient leurs paramètres de santé se détériorer (obésité, excès de graisses et de sucres dans le sang, problèmes hépatiques…). En revanche, des souris qui mangent exactement la même chose, en même quantité mais pendant seulement 8 heures dans la journée et jeûnant pendant les 16 autres heures, n’ont pas ces troubles, et voient même leur forme s’améliorer. A priori, le métabolisme du corps est positivement modifié par des périodes de jeûne bref (en tout cas pour les souris).

Ceci paraît intéressant, d’autant plus que le Pr Malene Hansen a montré que des périodes de jeûne, induisant l’autophagie chez le ver, pouvaient rallonger sa durée de vie de 25% ! Notons quand même qu’il s’agit (comme bien souvent) d’études sur des animaux.

D’autres recherches vont dans ce sens Le biologiste Pr Ohsumi a consacré sa vie à étudier les mécanismes de ce phénomène (prix Nobel 2016) et ses implications dans la lutte contre les maladies dégénératives, le cancer, les infections…(8)

Enfin, il semblerait que la plupart des techniques qui ont réussi à rallonger l’espérance de vie dans les modèles expérimentaux de manipulations génétiques ou d’administration de substances (comme resvératrol, lithium, rapamycine…), stimulent finalement l’autophagie.

Ce processus cellulaire semble donc très intéressant pour rajeunir un corps dans sa globalité et pour conserver la santé.

De plus, ses effets seraient particulièrement probants au niveau de la peau et des rides.

 



L'eau contribue à "détoxifier" l'organisme

 

Les signes de l’accumulation de toxines

La récurrence de repas trop copieux ou gras, la consommation d’alcool, de tabac, l’absorption de polluants… Tout cela induit une production de toxines dans l’organisme. Celles-ci constituent des déchets qui doivent être éliminés au risque de voir apparaître des symptômes comme fatigue passagère, perte de tonus, digestion difficile, troubles légers du sommeil, ou encore maux de tête passagers. Des symptômes qui doivent vous alerter.

L’eau, un élément essentiel pour le bon fonctionnement de l’organisme

Le corps humain possède naturellement la faculté d’évacuer ces toxines, par ses organes excréteurs : la peau (qui évacue l’acide lactique par la transpiration), les reins, le foie, les poumons … 

Elle participe ainsi à l’élimination des toxines : elle alimente les cellules des organes dédiés à cette tâche et contribue à la digestion. En outre, des apports en eau suffisants contribuent à maintenir les facultés cognitives et physiques.





Purifier son organisme

L’eau permet de garder une belle peau

 

La qualité de la peau n’a pas d’incidence directe sur notre survie, mais cette barrière protectrice ne doit pas pour autant être négligée, car une peau mal soignée résiste moins aux agressions extérieures, se dessèche et vieillit plus vite.
La peau est tout de même l’organe le plus volumineux de notre corps et il se compose d’eau à plus de 80 %. S’hydrater régulièrement favorise le renouvellement cellulaire, rend la peau souple et douce et renforce son pouvoir protecteur.

 

Conseils et astuces détoxification

 

Boire de l’eau chaude le matin, à jeun, accélère le métabolisme et permet à notre organisme de brûler plus de calories. Ce rituel matinal vous permettra en plus d’éliminer les toxines à l’origine, entre autres, du vieillissement prématuré des cellules.

  • Une nourriture trop riche, la pollution, le tabac, la consommation de médicaments, de produits excitants ou addictifs sont à l’origine de la production de toxines dans le corps, qui doivent être évacuées. Boire de l’eau, seule boisson vitale pour l’être humain est recommandé pour assurer le bon fonctionnement de l’organisme et faciliter l’élimination  de ces toxines .
  • La température de l’eau augmente celle du corps. La suractivité entraîne le phénomène de transpiration. Avec la sueur partent les toxines.
  • Chaque matins on boit plusieurs tasses d’eau chaude  à jeun pour éliminer les toxines assimilées la veille. On n’oublie pas le jus de citron pour ceux qui ne souffrent pas de maux d’estomac dus à l’acidité.
 



Boire de l'eau pour détoxifier et régénérer




Les bienfaits de l'hydratation

 

  • L’eau constitue 60 % du corps chez l’adulte et jusqu’à 75 % chez le nouveau-né. Notre corps ne contient pas de réserve d’eau et il est nécessaire de compenser l’eau éliminée que ce soit par la transpiration ou les urines, par exemple. Comment ? En buvant de l’eau !
  • S’hydrater permet de préserver sa santé. C’est un fait établi, l’hydratation est garante de notre équilibre physiologique. Tout d’abord, elle élimine les substances toxiques du corps. Pour les émiliner, les reins doivent faire leur travail en drainant ces déchets hors de notre organisme. Quel est donc le meilleur moyen ? De boire de l’eau. 
  • L’eau permet de maintenir le volume de sang dans le corps.
  • Le sang permet de véhiculer l’oxygène nécessaire aux muscles et au cerveau pour absorber les nutriments et produire l’énergie dont ils ont besoin pour fonctionner.
    Les cellules et les organes absorbent de l’oxygène par l’intermédiaire du sang et rejettent du CO2 par la respiration. C’est pourquoi il est essentiel de maintenir un volume de sang suffisant pour transporter l’oxygène nécessaire à l’organisme. Et comme le sang se compose de plasma à 55 %, et que le plasma se compose lui-même de 90 % d’eau, l’eau représente près de 50 % de notre sang.
  • La peau est l’organe le plus volumineux de notre corps , elle se compose d’eau à plus de 80 %. S’hydrater régulièrement favorise le renouvellement cellulaire, rend la peau souple et douce et renforce son pouvoir protecteur.
 
 

 
L’eau permet l’élimination des déchets par l’urine

 

L’urine contient 95 % d’eau. Sa fonction ? Elle permet, par l’intermédiaire des reins, d’éliminer les déchets métaboliques et toxiques de l’organisme (résidus médicamenteux, aliments non absorbés…), tout en conservant les sels minéraux essentiels à notre santé.
Aussi, pour assurer le bon fonctionnement de notre système rénal, il est essentiel de boire suffisamment de manière à renouveler régulièrement l’urine contenue dans notre corps.

 


Soleil et vieillissement. La créme solaire protection 50 protection indispensable





  • Les rides résultent de la perte progressive d’élasticité de la peau. Elles sont une conséquence directe et inéluctable du vieillissement de la peau accentué par les rayons du soleil même en hiver, méme en intérieur .
  • Les Japonaises, Thaïlandaise, chinoises, californiennes en sont convaincues elles qui ne sortent jamais sans leur crème d’indice de protection 50. En France, on hésite encore. Depuis ses 20 ans Charlotte la créatrice de REGENERATIV  « ne m’est pas un pied dehors même en hiver sans crème Spf 50 ». La crème solaire la plus efficace ,qui tient plusieurs heures sur le visage , qui fait une base de maquillage parfaite avec cet effet « glass Skin » est « ACTINICA »selon la de REGENERATIV fondatrice Charlotte.
  • Le point avec deux spécialistes : Les UVA, en pénétrant dans les couches profondes de la peau, provoquent un vieillissement cutané prématuré qui se traduit, 10 à 20 ans après les expositions, par l’apparition de tâches et de rides ainsi que par un amincissement de la peau. Par ailleurs, les UVA peuvent avoir des effets aigus sur l’œil et provoquer une inflammation de la cornée, une photoconjonctivite ou une cataracte.
  • L’exposition aux UV à faible dose est importante pour l’organisme puisqu’elle permet de synthétiser la vitamine D, qui est elle-même indispensable à la fixation du calcium sur les os et à la prévention de l’ostéoporose. Les UV aideraient également à traiter certaines pathologies, telles que le psoriasis.

 



 
 

La surexposition aux UV est responsable du vieillissement prématuré de le peau. Les rayons UV comptent les UVA et les UVB :

  • Les UVA pénètrent dans les couches profondes de la peau. Ils cassent le tissu conjonctif et provoquent de ce fait une perte d’élasticité de la peau : les rides apparaissent.
  • Les UVB stimulent la prolifération cellulaire au niveau de la couche superficielle de la peau : l’épiderme s’épaissit.

Radicaux libres : implication dans l’apparition des rides

Les cellules sont naturellement soumises à l’attaque de radicaux libres, des molécules ayant gagné ou perdu un électron. Mais quand la production de radicaux libres dépasse les capacités de l’organisme à les éliminer, on dit que les cellules subissent un stress oxydatif, favorable au vieillissement prématuré des cellules cutanées.

L’exposition au soleil et à ses rayons UV entraîne la synthèse de radicaux libres. Ceux-ci ciblent la membrane des cellules et dégradent le collagène, un élément essentiel impliqué dans l’apparition des rides.

 

LES DANGERS DU SOLEIL POUR LA PEAU

 
 Ci-dessous l’ homme aux deux visages ;

 Livreur de lait il s’appelle William Edward McElligott. À 69 ans, il a parcouru pendant 28 ans les rues de Chicago à bord de son camion, le côté gauche de son visage régulièrement exposé aux rayons du soleil à travers la vitre de sa portière. Sous l’effet nocif des UV, des rides et des sillons se sont creusés progressivement à gauche de son visage tandis que son profil droit apparaissait beaucoup moins marquée.

  • Un chauffeur routier ayant passé 28 années derrière son volant présente un étonnant faciès : le côté droit de son visage paraît vieilli de 20 ans par rapport au côté gauche.

La photo de son visage asymétrique a été prise lors de son examen par le Dr Jennifer Gordon, dermatologiste de la Northwestern University à Chicago, et publiée récemment dans la revue médicale américaine The New England Journal of Medicine. Bien qu’habituée au vieillissement accéléré de la peau à cause au soleil, elle pouvait observer pour la première fois la comparaison entre une peau saine (à droite) et une peau fortement abîmée (à gauche) sur un même visage.

Les sillons accentués, le relâchement et l’épaississement de la peau sont les marques d’un photo-vieillissement (ou dermatohéliose) provoqué par les rayons UVA du soleil. Les UVA peuvent en effet traverser le verre et surtout pénétrer profondément la peau au-delà de l’épiderme (la couche supérieure de la peau), où ils détruisent collagène et fibres élastiques.

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TABAC DANGER

 

Stop au tabac pour bien vieillir.

 


Principaux faits selon l’OMS

 

  • L’épidémie de tabagisme est l’une des plus graves menaces ayant jamais pesé sur la santé publique mondiale. 

  • Le tabac tue jusqu’à la moitié de ceux qui en consomment.

  • Le tabac est une cause majeure de décès, de maladie et d’appauvrissement.

    L’épidémie de tabagisme est l’une des plus graves menaces ayant jamais pesé sur la santé publique mondiale.

  • Le tabac fait plus de 8 millions de morts chaque année. Plus de 7 millions d’entre eux sont des consommateurs ou d’anciens consommateurs, et environ 1,2 million des non-fumeurs involontairement exposés à la fumée.

  • Le vieillissement cutané lié au tabagisme a fait l’objet de nombreuses études cliniques, puis de façon plus récente, d’études biochimiques in vivo et in vitro qui ont montré que le tabac était un facteur indépendant de vieillissement cutané, notamment chez les femmes, avec un effet dose dépendant. Les signes de ce vieillissement cutané ? Plus de rides précoces et une élastose (altération du tissu élastique) du derme moyen et profond, des phénomènes démontrés par des études cliniques classiques.

  • Le tabac provoque un stress oxydatif. Les cellules chargées du nettoyage de la peau sont surchargées et fonctionnent moins bien. Le renouvellement du collagène est touché, ce qui provoque une perte de densité de la peau et l’apparition de rides profo




Le sucre un poison néfaste pour le capital jeunesse

 



  •  Le sucre a un impact sur la peau. Souvent associé à l’acné, il est aussi à l’origine du vieillissement cutané.
  • Ce processus abime le collagène et provoque une perte d’élasticité de la peau. Ainsi, lorsqu’on mange trop de mets sucrés, les tissus cutanés se relâchent et les rides apparaissent plus vite.
  • En effet, le glucose se fixe autour des fibres de collagène et d’élastine. Petit à petit, cette glycation engendre une perte en élasticité et en tonicité et la formation de rides.

Celle-ci désorganise le fonctionnement normal des cellules et endommage notre ADN.

En ce qui concerne la peau, la glycation précisément, détruit au fur et à mesure le collagène et l’élastine de notre peau. Ces deux fibres qui pourtant sont la base d’une peau jeune et fraîche.

 

Il entraîne une dégradation des protéines et des lipides qui entrent dans la constitution de nos cellules. Cette réaction s’appelle la glycation. Mais si le glucose est indispensable à notre métabolisme, il peut aussi être nocif pour nos cellules et l’excès de sucre dans le sang entraîne des dégâts. Cet article est issu du magazine Sciences et Avenir n°869/870 daté juillet/août 2019.

 

Le sucre est associé à de nombreuses maladies

 

L’épidémie d’obésité – l’une des premières conséquences de cette boulimie sucrée – touche la quasi-totalité de la population mondiale. De plus, il est difficile d’éviter la substance car la plupart de nos aliments, principalement ceux fabriqués industriellement, en contiennent. Ce sont les fameux « sucres cachés » que les acteurs de l’agroalimentaire s’ingénient à rajouter dans la moindre de leurs préparations, y compris salées, que ce soit une boîte de petits pois, une pizza surgelée ou de la charcuterie. Pour comprendre, il faut savoir que tout ce que nous consommons – de la carotte au brocoli en passant par la viande ou le poisson, quelle que soit sa composition, subit une série de dégradations biochimiques dans l’organisme qui ont toutes le même but : transformer l’ensemble…

 C’est en effet cette molécule qui alimente les mitochondries, structures spécialisées productrices d’énergie (l’ATP ou adénosine triphosphate), véritables moteurs de nos cellules.

Surtout, dès lors qu’il est pris en trop grande quantité, il devient un poison. Les mitochondries se mettent à fonctionner à plein régime et, vite débordées par ce trop-plein, elles engendrent des dysfonctionnements métaboliques dont le marqueur le plus visible est l’obésité. La prise de poids est le premier indice que le corps ne parvient plus à gérer convenablement l’ingestion de nourriture. Car le foie, dont le rôle est de tirer le meilleur parti des aliments, sature lui aussi et se met à stocker le surplus sous forme de lipides.

 


Le sucre provoque un état inflammatoire dans le corps, il est une calamité pour le cerveau:

 

Il affaiblit le système immunitaire et provoque des lésions dans les cellules de la peau. Ces lésions touchent les tissus et organes. Cela est le résultat d’un phénomène appelé la glycation.La moitié de nos rations de sucre est ingérée à notre insu car nombre d’aliments industriels contiennent des sucres cachés : les desserts et les sodas, mais aussi les sauces salades, le jambon, le pain, les chips… « Les fabricants en ajoutent en masse dans la mesure où le sucre est un ingrédient peu cher qui masque les imperfections des aliments et les rend plus appétissants »explique le Dr Lustig.

 

La mode du « No sugar » n’est pas une lubie sans fondement. L’overdose de sucre à laquelle nous sommes confrontés est en effet néfaste pour la santé.

 Une étude canadienne, publiée en août 2017 dans la revue « The Lancet », prouve que les grands consommateurs de glucides ont un risque de mort prématuré accru de 28%.

Si on remplace 5% de son apport calorique venant des sucres par de bonnes graisses (huile de colza ou de poissons), on réduit déjà sa mortalité de 12% !

Selon le Dr Lustig, le sucre s’avère ainsi aussi toxique que le tabac ou l’alcool. « C’est le principal responsable de l’épidémie de diabète de type 2 et d’obésité, soutient ce spécialiste. Il n’y a pas de corrélation entre le nombre de calories ingérées et le diabète, mais entre le nombre de calories issues du sucre et des aliments sucrés. » Cent calories supplémentaires avalées sous forme de sucre élèvent la prévalence du diabète de 0,9%.

« L’excès de sucre est l’un des principaux poisons de l’encéphale », assure pour sa part le Dr David Perlmutter, neurologue auteur de « Ces glucides qui menacent notre cerveau » (éd. Marabout).

Le cerveau consomme en effet 40% des glucides apportés par l’alimentation. Ces derniers constituent son carburant de base. Mais lorsque l’afflux devient trop important, certaines régions cérébrales régressent. 

Des chercheurs australiens de l’université de Canberra ont notamment décelé par scanner une atrophie des zones impliquées dans la mémoire – en particulier au niveau de l’hippocampe – chez les personnes dont la glycémie était élevée, mais néanmoins considérée comme normale. 

À fortes doses, constate le Dr David Perlmutter. Une maladie de Parkinson ou d’Alzheimer peut en résulter.

 


Le sucre aussi toxique que le tabac et l'alcohol , quelques nutriments à ajouter pour éviter la glycation :

 

Le sucre ne fait pas seulement grossir. Il a un impact désastreux sur notre santé, selon le Dr Robert Lustig, endocrinologue et pédiatre américain, auteur du best-seller « Sucre, l’amère vérité » (éd. Thierry Souccar)



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